vendredi 30 janvier 2009

Ancien Hymne national tunisien


Portail Tunisie

ألا خلّدي يا دمانا الغوالـي جهــــاد الوطن

لتحرير خضـرائنا لا نبالـي بأقسى الـمحـــن
جهــــاد تــحـــــلّى بنصـــــر مبيــــــن
على الـغاصبين على الظالـــمين طغاة الزمـــن
نـخـوض اللهيــــب بروح الـحبيب زعيـم الوطن

أرى الحكم للشعب فابنوا لنا من المجد أعلى صروح تشاد
أجيبوا أجيبوا لأوطاننا نـداء اﻷخـوة والاتـحـاد
وذودوا العدى عن حمى أرضنا وكونوا أسودا ليوم الجلاد

ورثنا الجلاد ومجد النضال وفي أرضنا مصرع الغاصبين
وصالت أساطيلنا في النزال تـموج بأبطالنا الفاتحين
لواء الكفاح بهذا الشمال رفعناه يوم الفدى باليمين

شباب العلى عزّنا بالحمى وعزّ الحمى بالشباب العتيد
لنا همّة طالت اﻷنجما تعيد المعالي وتبني الجديد
فحيّوا اللّوا خافقا في السّمـا بعزّ وفخر ونصر مـجـيد

"Ala Khallidi (ألا خلّدي)",

Ancien hymne national de la tunisie signifiant Rendez éternel.

Houmat al hima est l'hymne du Néo Destour bien avant l'indépendance. C'est un poème Egyptien de Mustafa Sadiq Al Rafii qui a été mis à la sauce tunisienne (paroles revues et musique aussi) par Ahmed Kheireddine le poète tunisien.

Après l'indépendance et jusqu'à l'abolition de la monarchie le 25 juillet 1957, l'hymne tunisien était resté "L'Hymne Beylical" mais après l'avènement de la république, Bourguiba avait songé à un nouvel hymne et n'a pas retenu Houmat Al Hima (qui est cependant resté l'hymne du parti). Un concours a été organisé en 1958 et le poème "Ala Khallidi" de Jaleleddine Naccache [(جلال الدين النقاش), né le 22 juillet 1910 à Tunis et décédé le 7 mai 1989, poète et écrivain tunisien.] était retenu par le jury et la musique de Salah Mehdi [(صالح المهدي), de son vrai nom Mohamed Salah Ben Abderrahmane Ibn Mehdi Chérif1, né le 9 février 1925 à Tunis, musicien tunisien] a été jugé comme la meilleure! L'hymne a ensuite été adopté le 20 mars 1958 et utilisé jusque 1987

Dans cette page de wikipedia, il y a les paroles originales égyptiennes de Houmat Al Hima
http://fr.wikipedia.org/wiki/Humat_Al-Hima



Précision historique par kaaboura.
Autres compléments d'information sur l'ancien hymne dans le forum tunisien alternatif ici

SEXE : La première fois ...

http://www.casafree.com/modules/xcgal/albums/userpics/17725/couple.JPG


La première fois, c'est un coup d'essai ou on focalise dessus?

C'est vu comme un simple passage, un dépucelage ?
ou comme un moment planifié et réfléchi sous toutes le coutures?

Pour réfléchir au sens du mot "passage" ou "passage obligé". Il y a celui pressé de se retrouver de l'autre côté dès que la situation s'y prête et il y a aussi celui qui s'imagine une situation donnée avec quelqu'un de "spécial" pour des moments "inoubliables".


Comment voyez vous rétrospectivement ce passage ou comment l'appréhendez vous?




Grande interrogation dans la vie d'un jeune, proposée par Overdrive sur le forum tunisien alternati.
Des réponses ici

jeudi 29 janvier 2009

AMORES PERROS

Amores Perros
(Love's a Bitch)
(2000, Méxique)




Un terrible Accident de voiture relie trois histoires, toutes ayant les chiens comme point commun.

C'était mon premier film du même Alejandro González Iñárritu, et aussi mon favoris de sa part. Celui-là est beaucoup plus brut et violent que les autres qui l'ont suivi, et le style général reste toujours le même.

Les histoires sont comme suit :
Octavio y Susana : La première scène rappelle celle de Reservoir Dogs (sauf pour la poursuite), et c'est très efficace pour nous mettre tout de suite dans le bain.
Octavio est secrètement amoureux de Valeria, la femme de son frère Ramiro. Ce dernier, en dehors de son travail, gagne de l'argent à travers les cambriolages.
Octavio, ne pouvant plus supporter le fait que son frère maltraite sa femme aussi fréquemment, trouve un moyen pour collecter rapidement de l'argent en vue de s'enfuir avec elle. Il se trouve malgré lui dans de terribles embrouilles...

Daniel y Valeria : Daniel, marié et ayant des enfants, trompe secrètement sa femme avec Valeria, mannequin assez connue au Méxique.
Valeria a un chien, Ritchie, qu'elle aime énormément. Lorsqu'elle et Daniel se trouvent dans une nouvelle maison qui leur est propre, Ritchie se trouve piégé sous le parquet de la maison, et Valeria, ayant vécu un terrible accident de voiture, utilise désormais une chaise roulante...

El Chivo y Maru : El Chivo était un père de famille très normal, jusqu'au jour où il s'est transformé complètement pour devenir un guerilla, laissant tout derrière lui. Il a passé 20 ans en prison, et à sa sortie, il a un peu perdu la tête, vivant à la manière d'un SDF, en compagnie de plusieurs chiens, tout en possédant de bonnes sommes d'argent grâce au 'travail' qu'il fait.
Un ami à lui vient lui demander d'en effectuer un autre, et c'est là qu'El Chivo décide de ne pas faire les choses comme d'habitude...


Crime, tragédie et regrets se mêlent dans ce film de façon à ne laisser que quelques lueurs d'espoir dans un monde qui ne pardonne pas...

9.5/10



Le plus cinéphile des alternautes, Belial, a vu (et revu) la meilleur oeuvre du réalisateur mexicain Alejandro GONZALES INARRITU (celui de BABEL, film remarqué de 2006 avec Brad PITT et Cate BLANCHETT). C'est la sélection de la semaine.

Retrouvez les autres critiques de films sur le forum tunisien alternatif ici


dimanche 25 janvier 2009

Ichkabad 2

Ichkabad 2

El Teatro

Du Jeudi 22 Janvier 2009 au Samedi 31 Janvier 2009





Les Alternautes ont la fierté de féliciter et encourager leur amie la belle et talentueuse Zohra, actuellement sur scène dans cette pièce moderne. Après avoir assisté à l'événement, s'être rempli la tête de tant de complexités relationnelles, mais surtout de beaucoup de souvenirs de rires, pour partager son plaisir Lilia nous raconte :


J'ai assisté à la représentation d'hier [Samedi 24 Janvier 2009] à El Teatro et je dois dire que je ne regrette pas de l'avoir fait ! Oui Khaoula El Hadef a fait du bon travail !!! Ainsi que toute la troupe d'ailleurs !

Le jeu de Zohra a été remarquable car je trouve que c'est loin d'être évident de jouer des rôles pareils...

Sinon, ça décrit les relations hommes-femmes, tout ce qui est interdit, l'homosexualité, les donneurs d'ordres et les moralisateurs, chaque couple peut s'aimer en toute "liberté" à condition qu'ils ne se parlent pas, qu'ils ne se touchent pas, qu'ils ne s'aiment pas ...

C'est notre société 7abbina walla krahna ! ceux qui refusent de se marier parce que le mariage ne leur convient pas, ceux qui ne se marieront que si et seulement si la fille est vierge, ceux qui ne font plus confiance aux femmes sauf leurs mères ! celles qui aiment bien la couture, d'autres qui ne jurent que par le Don Juan...

Hommes et femmes se trouvent déboussolés, sans repères, ne savent à quel saint se vouer... On doit être conforme aux codes, aux règles, on doit se conformer, dormir à telle heure, et sortir à telle heure, sans oublier le couvre feu ... et gare à celui ou celle qui ose se rebeller !!!

Il faut dire qu'on y ri beaucoup ! Oh oui on a ri, bien que cette réalité représentée soit loin d'être amusante ...

D'autres commentaires sur le forum tunisien alternatif ici

Mise en scène et texte de Khawla El Hadef, sous la direction artistique de Taoufik Jebali, "Ichkabad 2" a été présentée les 22-24- et le sera encore les 29-30-31 janvier 2009 à 19h30 , avec la participation des amateurs d'el teatro Studio : Bouallegui Soumeya, Hnayen Donia, Ayadi Zied, Laabidi Rita, Kilani Med Osmen, Ayadi Walid, Glai Yosr, Turki Mohamed, Ben Jemaa Sonia, Bellamine Zohra et Chaouch Dhouha

vendredi 23 janvier 2009

Au regard du conflit palestinien, quelle construction pour le monde Arabe ?



La corruption du fath et l'islamisme du hamas sont nos problèmes, le problème des arabes. Le schéma est récurrent et présent partout où s'étend la culture et les mentalités arabes. La Palestine n'est pas une exception. Dans les pays arabes. La seule opposition islamiste persiste et se développe. On a le choix entre l'islamisme et des régimes rétrogrades qui se réclament de la modernité. La logique du takfir, non patriotisme, 3amala, 5iyana etc.

C'est vrai que Israël donne l'impression, probablement justifiée, de manoeuvrer et créer des situations de fait. La société israélienne est hétérogène ce qui expliquerait en partie les louvoiement qu'on observe.

Ce qui nous concerne nous, donc il nous revient à nous de résoudre est la précarité flagrante de toutes les constructions de la modernité qu'on a voulu greffer et fonder. On constate que même des supposés progressistes portent en eux la logique de hamas. Il faut s'expliquer l'affinité flagrante avec les thèmes et les thèses du hamas.

Notre nahdha, renouveau qui a débuté au 19 siècle retombe sur ses fondements et on sent qu'on est traversés par des courants sous-terrains qui nous emportent. Le non pensé, ce qui va de soit ou ce qu'on a refusé de voir en face nous anime comme des pantins.




Billet d'humeur et point de vue proposé par Overdrive sur le forum tunisien alternatif.
Pour compléter ou apporter la contradiction =>
http://alternatif.freediscussions.net/points-de-vue-f1/la-vertue-de-l-indignation-t2794.htm#44151

jeudi 22 janvier 2009

le lablébi facile

Comme je m'interrogeais sur la recette du lablébi, voici la préparation facile et savoureuse proposée par Lady :

il te faut une boîte de pois chiches
un oeuf (ou 2 s'comme tu veux)
du pain rassi (au moins celui de la veille)
de l'huile d'olive
de l'harissa (pas celle en boîte hein! l'autre, celle qu'on achète en vrac, assure toi qu'elle soit bien épicée, je parle des épices pas du piquant)
de l'ail (au moins 3 gousses, plus si tu préfères)
du cumin moulu

dans une casserole, tu vas mettre un peu d'huile d'olive et l'ail émincé, tu attends quelques secondes ('fin un peu plus, une minute à peu prés) et après tu mets toute la boîte de pois chiches dans la casserole (tu rajoute un peu d'eau, environ le quart de la boîte), tu laisses cuire un peu.

entre temps, tu mets l'oeuf à cuire (il faut qu'il soit mollet et même un peu plus cru que ça)

tu mets le tout dans un tebsi si t'en as (tu sais, le bol en argile), ou un simple bol. tu rajoutes l'harissa, tu mélange bien, tu rajoutes le pain coupés en morceaux (émietté assez grossièrement), tu remélanges, tu rajoutes ensuite l'oeuf (tu le casses comme un oeuf cru), tu rajoutes un peu d'huile d'olive et une pincée de cumin! (le cumin tout à la fin hein! ne le mets pas au début sinon ça sera amer)

voilà, comme tu vois c'est super facile, bon, s'pas digne de 3am 7attab ( bouhouhou ) mais s'quand même bon!

Pour mettre votre grain de sel dans cette recette, et assaisonner de vos commentaires les échanges épicés qui ont suivi,
venez ici => http://alternatif.freediscussions.net/gastronomie-f16/le-couscous-du-jeudi-t1129-30.htm

mardi 20 janvier 2009

Nouvelle cuisine

Nouvelle Cuisine



Synopsis a écrit:
Ching Lee, une ancienne star approchant la quarantaine, est décidée à retrouver sa beauté d'antan pour reconquérir son infidèle mari. Elle s'adresse alors à Mei, une cuisinière charismatique qui a pour spécialité les jiaozi, raviolis à la vapeur typiques de la cuisine chinoise. Vendus à prix d'or, les jiaozi de Mei, à l'étrange éclat rosâtre, sont réputés pour leurs vertus rajeunissantes.
Ching, prête à tout pour retrouver sa jeunesse, ne se soucie guère de connaître les ingrédients de la recette secrète de Mei. Quitte à en payer le prix fort plus tard...

Je poursuis mon exploration du ciné asiatique, et, d'un coup, je passe à la vitesse supérieure. Dans le genre malsain par son seul pouvoir de suggestion, j'ai rarement vu pire. J'en suis ressortie mitigée (ce n'est pas le film du siècle) mais surtout interloquée, avec ce goût désagréable dans la bouche ; celui de l'écoeurement.


Ce film pose une question fondamentale : jusqu'où est on prêt à aller pour satisfaire les désirs de l'autre (et même, plus largement, d'une société toute entière) ?
Sa réponse : à ne faire qu'une bouchée de toute éthique, et à se livrer à une dégustation des plus nauséabondes de rêves complètement insensés...

Critique cinglante d'une société chinoise au bord de la folie, ce film a un mérite, celui de mélanger avec habileté les genres : drame, érotisme, burlesque, horreur s'entremêlent pour donner une peinture à la fois intensément bariolée et profondément morose d'une société ô combien paradoxale. Musiques attendrissantes, plans superbes, ambiance lénifiante, s'opposent à une atmosphère suffocante, des images-choc, et à un sentiment de malaise qui ne nous quitte pas ; comme si les contradictions de la forme devaient rejoindre le fond.

Au final, c'est un film à goûter, mais pas par n'importe qui, et surtout, le ventre vide.
Beau, dérangeant, répugnant.


Critique de film proposée par Datura
http://alternatif.freediscussions.net/cinema-spectacles-medias-f9/votre-dernier-film-t520-495.htm#43990

Pourquoi la Femme fait-elle si peur ?



Le n°33 Janvier-Février du Monde des Religions propose un dossier intéressant :
La Femme dans les religions : pourquoi fait-elle si peur ?



Se démarquant des cultes plus anciens (notamment de ceux qui vénéraient la "grande déesse"), lorsque les cités se sont développées et que les premiers royaumes se sont constitués après le néolithique, depuis leurs origines jusqu'à aujourd'hui, quel est l'un des points communs avec les principales religions (bouddhisme, christianisme, confucianisme, hindouisme, islam, judaïsme, taoïsme) ?

... le mépris de la femme, son abaissement, le dénigrement de son corps et de son esprit !

Entre la mysogynie présente dans les textes fondateurs d'une part, puis les lectures machistes et instrumentalisations des religions d'autre part (puisque les personnes Jésus et Mohamed eux sont au contraire considérés comme des figures universelles du féminisme), aux violences encore actuelles (lapidation, bûcher, excision, ...), qu'est-ce qui fait que la femme soit aussi massacrée (au sens propre et figuré) par l'homme ???

Vous pouvez aussi donner votre avis => http://alternatif.freediscussions.net/cultes-croyances-f7/la-femme-dans-les-religions-pourquoi-fait-elle-si-peur-t2752.htm

Tunisie vue du ciel ...

Avec les privilèges de l'aigle, Yann Arthus-Bertrand nous fait voyager sur une terre riche d'Histoire et de beautés. A travers ses étonnants et splendides clichés pris du ciel, redécouvrons la Tunisie :




Les ksour ou ksar désignent des forteresses berbères typiques du sud de la Tunisie. Repliées sur une cour intérieure et protégées par un mur d’enceinte parfois haut de 10 m, elles étaient bâties sur les reliefs pour se protéger des assaillants. Elles témoignent en effet de la longue résistance des Berbères à l’invasion arabe entre le VIIe et le XIIe siècle. La plupart de ces ksour étaient des greniers collectifs pour le stockage en toute sécurité des céréales, de l’huile et du fourrage. C’est pourquoi ces forteresses sont divisées en ghorfas, alvéoles de 4 à 5 m de profondeur et de 2 m de haut superposées sur plusieurs étages. D’autres ont servi d’habitations avant que ces sites aient été délaissés au profit des plaines une fois le calme revenu dans la vallée. Vides, ces « greniers des crêtes » dominent encore le paysage, rappelant par leur taille qu’un climat plus humide permettait autrefois de nourrir une population importante dans une région qui est aujourd’hui aux franges du désert du Sahara.




El-Jem, Gouvernorat de Mahdia

Quand on rallie El-Djem par la route, on voit surgir au loin une immense structure cylindrique tout à fait mystérieuse. Ce n’est qu’en arrivant à proximité que l’on découvre une bourgade somnolente à ses pieds. Le monde antique paraît écraser ici le monde moderne. L’amphithéâtre, qui date sans doute du début du IIIe siècle, est célèbre par ses dimensions (148 m de long, 124 m de large et 427 m de périmètre) et par son état de conservation. L’ancienne cité romaine de Thysdrus s’était auparavant contentée d’un amphithéâtre taillé à même le tuf dont on peut visiter les ruines. L’accroissement de sa population, qui atteignit probablement plusieurs dizaines de milliers d’habitants au IIe-IIIe siècle, et son enrichissement grâce à la culture de l’olivier, exigèrent la construction de cet édifice prestigieux dont l’architecture s’apparente à celle du Colisée romain. El-Djem rappelle ainsi que dans l’Antiquité, la population du sud de la Méditerranée était aussi importante et aussi prospère que celle du nord et suggère qu’une telle situation démographique peut revenir sans créer de catastrophes : alors l’amphithéâtre d’El-Djem paraîtra petit au regard des gratte-ciel qui l’entoureront.




Marabouts dans le Jebel Krefane, gouvernoratde Tozeur

L’Ifriqiya (l’Afrique) fut conquise par les Arabes dès la fin du VIIe siècle. Mais l’arabisation et l’islamisation, assez lentes au début, ne se sontaccélérées qu’à partir du XIe siècle. Comme dans les autres territoires tardivement islamisés, c’est le soufisme qui s’est implanté. En Afrique, ce courant prend appui sur le maraboutisme, culte des saints qui devient un élément essentiel de
la dévotion populaire : des tombeaux à coupoles (ou marabouts) parsèment villes et campagnes. Le marabout renvoie à l’origine au murabit, moine guerrier vivant dans un couvent fortifié (ou ribat). Puis il en vient à désigner un personnage qui s’est illustré par sa piété, sa charité, sa science religieuse ou ses dons de guérisseur. Le terme s’applique aussi à son mausolée, lieu de pèlerinage où les adeptes viennent le vénérer par des cérémonies chantées et dansées.
Aujourd’hui, les marabouts ont conservé une grande influence spirituelle, labaraka, qui peut influencer non seulement la vie quotidienne des fidèles mais aussi la vie politique du pays.


... d'autres photos vous attendent ici

Sujet proposé par Herr Mannelig.

mercredi 7 janvier 2009

2009



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